FABRIQUE JEAN MILOSSIS
..celle de la photo s'empare de mon syndrome de Stendhal, et l'apaise, lorsque les sensibilités d'un instant se font trop brutales à force de les aimer, toutes ces certaines fois, quand les conditions de la nature se transforment en art majeur, forcément supérieures à moi petit homme, difficiles, je t'ai nommée "Central Park" gamine ...( automne 2018)
...nous n'avions rien qu'emprunter l'Austin Healey, rouge, de Bernard, pour choisir les tresses des gamines à travers le hublot de nos heures souvent si douces..
alors que nous étions tout. Alors que nous étions tout.
...diplomate et fier il rôde le long de mes rêves et rectifie mes abîmes...(septembre 2019)
...dans la chambre de Berlin, souvent après le rock dehors, elle écrivait. Elle pensait qu'elle devait faire comme ça pour comprendre ses désordres. Alors, elle pensait dans le contact automatique avec les mots, et elle les écrivait dans une grande rapidité. Sur le papier ainsi, il y avait toute sa profondeur qui se libérait. C'était écrit avec de la brutalité. Elle disait de cette manière: " Instinkt spücken" . Dans la langue française les mots-là voulaient dire "cracher l'instinct". Des lignes de jolie encre, qui lui mettaient des belles kermesses, lumineuses comme tout, dans les yeux...
( in " l'allemande" de Jean MILOSSIS - 1995 ) .
25h20 ....je fouille les replay(s) dans Arte...découvre SHELL...Shell comme l'essence...
Apparemment ça se passe en Ecosse...la région la plus originale de ma vie..
Une analyse sauvage de l'amour qui s'engouffre dans une beauté-sous-diktat : la solitude de deux êtres. Oui c'est très beau, effrayant de paradoxe et, moi qui regarde je m'aperçois de ce qui me fascine dans toutes ces images fort belles: le sublime de l'ultime.
Ce film, tourné par ce nouveau cinéaste anglais qu'est Scott GRAHAM, appartient au Cinéma non négocié...Il m'a marqué et je l'aime cinq étoiles.
Profitez-en il est encore en replay sur Arte pour quelques jours seulement. - SHELL- avec Chloé Pirrye
..."cet amour-là..."aurait constaté Marguerite D. ...je suis heureux, j'ai retrouvé Picasso dans son unique Lieu du monde, chez lui,cette demeure du Marais Paris IVème, sans éparpillements. J'aurais, oui, préféré le silence aux aboiements des guides qui pensent qu'il faut expliquer l'amour, mais il est des jours, des matinées, où je trouverai ce silence-là...et la proximité du regard de Marie-Thérèse...cette vaste amoureuse..
28 octobre 2016
LA-BAS
Quand t'arriveras là-bas, gamine, il ne te restera rien que ce village crasseux devant toi et un trésor, tout ce que tu auras ramassé sur le long chemin autour de tes yeux clairs...
4 nov.2014
Oeuvre de Lo Mila
